Pourquoi le KPB « Parcours d’Obstacles TOP Soft Skills?

By Stephane Tonnelier Responsable KPB


Une réponse aux défis que devront affronter les jeunes talents dans la Corporate Jungle

Dans le monde de l'entreprise, il y a une réalité qu'on ne peut pas ignorer : les soft skills sont devenues incontournables. Que tu sois en recherche d’un CDI, d’une alternance ou même d’un stage longue durée, ces compétences comportementales peuvent faire la différence entre décrocher un job ou rester sur la touche. Pourtant, les jeunes talents arrivent souvent sur le marché du travail sans être réellement préparés. C’est précisément pour combler ce fossé que j’ai créé ces parcours du combattant spécial "soft skills" chez KPB. Mais avant de t'expliquer en détail, laisse-moi te donner un aperçu des conséquences de cette impréparation, et pourquoi il est crucial de s’y attaquer dès maintenant.

1 - Les soft skills : le sésame pour réussir en entreprise

On le sait tous : les diplômes et les compétences techniques ne suffisent plus. Les employeurs recherchent aujourd’hui des profils complets, capables de s’adapter, de communiquer efficacement, de gérer le stress, de travailler en équipe, et bien plus encore. Lors des entretiens d’embauche, les recruteurs vont creuser pour dénicher ces fameuses soft skills.

Prenons l’exemple de la communication, une soft skill souvent sous-estimée. Imaginons un chef de projet qui doit coordonner une équipe internationale répartie sur plusieurs fuseaux horaires. Il ne suffit pas d’envoyer des emails avec des instructions techniques précises. Il faut savoir communiquer clairement et efficacement, en prenant en compte les différences culturelles, pour éviter les malentendus et maintenir la motivation de l’équipe. Un mauvais choix de mots, une mauvaise interprétation, et tout le projet peut être compromis.

Autre exemple : la gestion du stress. Dans une entreprise, les deadlines serrés et les situations de crise sont monnaie courante. Un manager qui sait gérer son stress pourra non seulement garder son calme, mais aussi rassurer son équipe et prendre des décisions éclairées sous pression. Imagine une situation où une erreur critique est découverte à la dernière minute avant une présentation client majeure. Un professionnel avec de solides compétences en gestion du stress saura mobiliser son équipe rapidement pour corriger l’erreur sans céder à la panique, alors qu'un autre pourrait perdre ses moyens et compromettre la relation avec le client.

La résolution de conflits est une autre soft skill cruciale. Dans une équipe, les divergences d’opinions sont inévitables. Un employé qui sait gérer un conflit de manière constructive peut transformer une situation potentiellement destructrice en une opportunité de renforcement de l’équipe. Prenons l'exemple d'une dispute entre deux collègues sur la manière de prioriser les tâches. Sans une bonne gestion des conflits, cela pourrait mener à des tensions durables, affectant la productivité. Au contraire, un médiateur efficace saura trouver un terrain d’entente et réorienter l’équipe vers un objectif commun.

Un jeune talent qui maîtrise ses soft skills sait comment répondre à ces questions en entrerien, en illustrant ses propos par des exemples concrets. Il est capable de démontrer qu’il peut apporter plus qu’une simple expertise technique.

Il sait aussi qu’une promotion ou une bonne performance review ne dépend pas seulement de ce qu’il fait, mais de la manière dont il le fait. Prenons l'exemple d'un employé qui a réussi sa période d'essai : il n'a pas seulement atteint ses objectifs, mais il a su s'intégrer, collaborer avec ses collègues, et faire preuve d'initiative. Ces éléments sont décisifs pour gravir les échelons dans une entreprise.

2 - Les jeunes talents face à la réalité : un déficit de soft skills

Une méconnaissance de soi-même et de ses compétences

Les jeunes talents arrivent souvent en entreprise avec une vision idéalisée de leurs compétences. Par exemple, un jeune diplômé peut se croire bon communicant parce qu'il a obtenu de bonnes notes dans des présentations académiques. Mais lorsqu’il doit présenter un projet stratégique devant des dirigeants, il se rend compte qu’il ne sait pas adapter son discours à un auditoire non technique. C’est là qu’il réalise qu’il ne connaît pas réellement ses forces et ses faiblesses.

Une autre situation typique concerne la gestion du temps. Un jeune professionnel peut se dire organisé parce qu'il a toujours rendu ses devoirs à temps à l'université. Mais dans le cadre d’un poste où les priorités changent constamment, il peut se retrouver rapidement débordé, incapable de gérer efficacement ses tâches. Cette méconnaissance de soi-même mène souvent à des erreurs coûteuses, tant en termes de performance que de confiance en soi.

Manque de pratique concrète sur le terrain

Le vrai problème, c’est que ces jeunes n'ont pas eu l'opportunité de pratiquer ces compétences en conditions réelles. Ils connaissent peut-être la théorie, mais quand il s'agit de la mettre en pratique dans une situation complexe ou dans un mode dégradé, ils se retrouvent souvent démunis.

Par exemple, un diplômé en gestion de projet. Il peut avoir appris toutes les méthodologies de gestion (Agile, Scrum, etc.) en théorie. Mais lorsqu’il se retrouve à gérer son premier projet, il est désemparé face aux imprévus : un fournisseur qui ne respecte pas ses engagements, un membre de l’équipe qui tombe malade, ou encore un client qui change ses exigences au dernier moment. Sans expérience pratique, ces situations deviennent rapidement ingérables.

Sans entraînement, il fait des erreurs coûteuses, perd du temps, et finit par s’épuiser.

Prenons également l’exemple d’un jeune analyste financier qui, bien que très doué pour les chiffres, n’a jamais eu à présenter ses conclusions à des clients. Lorsqu’il doit défendre son analyse face à un comité d’investissement sceptique, il peine à convaincre, car il manque de l’assurance et de la pratique dans l’art de l’argumentation.

Incapacité à fournir des exemples concrets en entretiens, évaluations de performance

Lors des entretiens d’embauche ou des évaluations de performance, les recruteurs et les managers demandent souvent des exemples concrets où les soft skills ont été mises en pratique. Un jeune candidat peut avoir du mal à répondre à une question du type : "Pouvez-vous me donner un exemple où vous avez dû gérer un conflit au sein de votre équipe ?" S’il n’a jamais été confronté à ce genre de situation, il risque de donner une réponse vague, à côté de la plaque et donc pas convaincante.

Cela se produit également lors des évaluations de performance. Un employé à qui l’on demande d’expliquer comment il a contribué à améliorer la collaboration au sein de son équipe peut se retrouver embarrassé s'il n'a pas d'exemples concrets à fournir. Cette incapacité à illustrer ses compétences avec des expériences vécues est souvent perçue comme un manque de maturité professionnelle.

Perte de repères, de pragmatisme, d'efficacité, de solutions face aux situations complexes, aux défis humains en entreprise

Lorsque les jeunes talents sont confrontés à des situations complexes en entreprise, ils peuvent rapidement perdre pied. Par exemple, un nouveau manager peut être totalement désorienté lorsqu'il doit gérer un employé performant mais dont l’attitude négative affecte l’ensemble de l’équipe. Sans expérience et sans un bon guide pour l’aider, il peut prendre des décisions maladroites qui exacerbent le problème au lieu de le résoudre.

Un autre exemple est celui d’un jeune professionnel confronté à une crise de communication dans une équipe projet. Des malentendus se multiplient, les deadlines ne sont pas respectées, et le projet est en danger. Faute de pragmatisme et de méthode pour rétablir une communication efficace, le jeune talent peut se retrouver complètement dépassé, incapable de redresser la situation.

3 - Les conséquences graves de l’impréparation

Échecs lors des entretiens d'embauche

Un jeune diplômé peut avoir un CV impeccable, mais s’il ne parvient pas à démontrer ses soft skills en entretien, ses chances de décrocher le poste sont compromises. Par exemple, un candidat peut exceller dans ses études mais échouer à convaincre un recruteur de sa capacité à gérer un projet d’équipe parce qu’il ne peut fournir aucun exemple concret de leadership. Un autre peut se montrer techniquement compétent mais incapable de démontrer qu’il sait gérer la pression ou les conflits, ce qui conduit souvent les recruteurs à choisir un candidat plus expérimenté ou mieux préparé.

Fin de période d'essai difficile

Même si un jeune talent parvient à décrocher un poste, la période d'essai peut vite tourner au cauchemar s’il n’est pas préparé. Par exemple, un nouveau collaborateur qui n’a pas développé de bonnes compétences en gestion des priorités peut se retrouver submergé par la charge de travail. Incapable de dire non ou de déléguer efficacement, il finit par négliger des tâches cruciales, ce qui entraîne des erreurs coûteuses pour l'entreprise. Si ces erreurs s’accumulent, son employeur peut décider de ne pas le garder à la fin de sa période d’essai.

Mauvaises évaluations de performance

Lors des revues de performance, les soft skills jouent un rôle crucial. Un employé qui, malgré de bonnes compétences techniques, ne parvient pas à s’intégrer dans une équipe ou à gérer des situations de stress, recevra probablement une mauvaise évaluation. Prenons l'exemple d’un développeur talentueux qui refuse de collaborer avec les autres membres de l’équipe, préférant travailler en solitaire. Bien que son code soit irréprochable, son manque de collaboration peut ralentir le projet global, ce qui sera noté négativement par son manager.

Renvoyé pour inadaptabilité

Le renvoi pour inadaptabilité est souvent la conséquence ultime d’un manque de soft skills. Prenons le cas d’un employé qui, après plusieurs mois, n’a toujours pas réussi à s’adapter à la culture d’entreprise. Par exemple, un jeune cadre peut être renvoyé s’il est incapable de s’adapter à un environnement de travail où l’autonomie et la prise d’initiative sont valorisées. Si ce cadre attend constamment des instructions précises et ne prend jamais d’initiatives, il finira par être perçu comme un frein plutôt qu’un atout, menant à son renvoi.

Promotion manquée

Enfin, même les employés les plus performants techniquement peuvent passer à côté d’une promotion s’ils ne maîtrisent pas les soft skills. Imaginons un excellent ingénieur qui aspire à un poste de management. Si cet ingénieur ne sait pas communiquer efficacement, ne sait pas motiver une équipe ou gérer les conflits, il ne sera pas considéré pour la promotion, même s’il est techniquement brillant. Les soft skills sont essentielles pour passer du statut d'exécutant à celui de leader.

4 - L'importance cruciale de la pratique : Apprendre en faisant (learn by doing)

Sortir de sa zone de confort

On ne devient pas un expert en soft skills en lisant des livres ou en suivant des cours théoriques. La véritable maîtrise vient de la pratique, du "learn by doing". Il faut se lancer dans des situations réelles, faire face à des imprévus, et apprendre à réagir en temps réel. Les parcours du combattant de KPB sont conçus pour te sortir de ta zone de confort, pour te mettre en situation de stress et te forcer à trouver des solutions.

Fail fast, fail forward : apprendre de ses erreurs

Ces parcours te permettent de pratiquer encore et encore, de te tromper et de recommencer. C’est le principe du "fail fast, fail forward". L’idée, c’est de faire des erreurs rapidement, d’en tirer des leçons, et de progresser. Plutôt que de subir tes erreurs sur le terrain, tu les fais dans un environnement contrôlé, avec le soutien d’un mentor expérimenté. Prenons l’exemple d’un étudiant qui doit gérer une réunion sous pression : s’il se trompe, il reçoit immédiatement du feedback et peut réajuster sa stratégie pour la prochaine fois.

Rinse and repeat : acquérir des automatismes

La répétition est clé pour développer des soft skills. Plus tu pratiques, plus tu acquiers des automatismes. Par exemple, après avoir été confronté à plusieurs scénarios de gestion de conflits dans les parcours, tu sauras instinctivement comment réagir la prochaine fois qu’une situation similaire se présentera. C’est ce qu’on appelle "rinse and repeat" : tu répètes encore et encore jusqu’à ce que ces compétences deviennent une seconde nature.

Pratique sur des cas grandeur nature

Les parcours de KPB ne se contentent pas de te proposer des exercices simples. Ils te confrontent à des cas grandeur nature, des situations complexes que tu pourrais rencontrer en entreprise. Cela peut aller de la gestion d’un projet avec des délais serrés à la négociation avec un client difficile, en passant par la prise de décision sous pression. Tu es mis à l’épreuve dans des conditions réalistes, avec des imprévus et des challenges qui te forcent à utiliser toutes tes compétences.

Se préparer au pire avant d’arriver en entreprise

L’un des grands avantages de ces parcours, c’est qu’ils te préparent au pire avant même que tu n’arrives en entreprise. Tu seras déjà passé par des situations difficiles, tu auras déjà été bousculé, et tu auras appris à te relever. Quand tu te retrouveras face à un challenge en entreprise, tu ne seras pas en terrain inconnu. Tu auras déjà les outils pour y faire face, ce qui te donnera un avantage certain sur ceux qui n’ont pas eu cette préparation.

5 - Les points forts de KPB : Se connaître pour progresser

Se connaître soi-même : la clé de la réussite

L'un des grands points forts des parcours du combattant de KPB, c’est qu’ils t’aident à mieux te connaître. Savoir où tu en es, c’est fondamental. C’est ce qui te permet de savoir comment progresser, sur quels points travailler, et comment dépasser tes limites. Au début du parcours, un autodiagnostic complet est réalisé pour évaluer tes soft skills. Ce n’est pas seulement une question de cocher des cases, mais de comprendre profondément tes forces et tes faiblesses.

Un plan de développement personnalisé

Sur la base de ce diagnostic, un plan de développement personnalisé est élaboré. Ce plan n’est pas figé. Il évolue avec toi, au fur et à mesure que tu progresses. Il te permet de suivre tes améliorations, de voir concrètement où tu progresses et où il reste du travail. Ce suivi est essentiel pour une amélioration continue, car il t’oblige à rester concentré sur tes objectifs tout en adaptant tes efforts en fonction de tes avancées.

Se connaître pour mieux travailler en équipe

Se connaître soi-même, c’est aussi indispensable pour savoir travailler efficacement en équipe. Si tu comprends tes propres limites, tu es mieux à même de comprendre celles des autres. Cela te permet d’être plus à l’écoute, d’anticiper les conflits, et de t’adapter aux dynamiques de groupe. Un collaborateur qui se connaît bien est un collaborateur qui peut s’intégrer plus facilement, communiquer de manière plus fluide, et contribuer positivement à la performance collective.

Découvrir ses limites pour mieux les dépasser

Enfin, se connaître, c’est aussi reconnaître ses limites. Mais ce n’est pas une fatalité. Au contraire, en identifiant tes points faibles, tu sais où concentrer tes efforts pour les dépasser. C’est en te confrontant à tes faiblesses que tu pourras les transformer en points forts. Les parcours de KPB te poussent à dépasser tes limites, à sortir de ta zone de confort, et à grandir professionnellement.

En somme, les soft skills ne sont pas une option, mais une nécessité pour réussir en entreprise. Sans elles, même les jeunes talents les plus prometteurs risquent de passer à côté d’opportunités cruciales et de compromettre leur carrière dès le départ. Les parcours du combattant de KPB sont conçus pour combler ce déficit, en offrant une formation pratique et intensive qui prépare les jeunes talents à affronter et surmonter ces défis dès leur arrivée en entreprise.

Conclusion

Les parcours du combattant de KPB ne sont donc pas juste un simple exercice de style. Ils sont une véritable préparation au monde réel de l’entreprise. Ils t’offrent l’opportunité de te confronter à des situations difficiles, d’apprendre de tes erreurs, et de développer tes soft skills de manière concrète et ciblée. Que ce soit pour te connaître toi-même, pour t’entraîner à réagir face à l’imprévu, ou pour te préparer à toutes les situations que tu pourrais rencontrer en entreprise, ces parcours te donneront les clés pour réussir. Quand tu arriveras sur le terrain, tu seras prêt, aguerri, et opérationnel.

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